Il y a deux mois, le Président Joe Biden annonçait la création d’un bureau d’analyse des ovnis, le premier aux États-Unis. Des projets scientifiques ont également été mis en place visant à détecter de façon systématique des phénomènes célestes non identifiés… Epsiloon s’est donc demandé : pourquoi il sont de retour ?

Le grand dossier : Transposons, les gènes qui boostent l’évolution.

Non, l’évolution n’agit pas à petits pas, graduellement, sur le long terme. Des espèces peuvent aussi se transformer brutalement, quasiment du jour au lendemain, sous l’effet de grands morceaux d’ADN mobile qui viennent se coller dans leur génome : ce sont les transposons. On comprend comment, un beau jour, le maïs se redressera, le raison devint blanc, les roses se parfumèrent et un premier primate naquit sans queue…

L’enquête : OVNIS, pourquoi ils sont de retour ?

Les États-Unis viennent de le reconnaitre officiellement : il y a bine dans le ciel des phénomènes bizarres, des objets volants non identifiés. Défens et renseignement s’inquiètent de l’irruption de nouveaux engins ennemis. A moins que cela soit lié à l’explosion du trafic spatial, à des lueurs naturelles ou… à autre chose ?

Étoiles : tous les secrets d’une agonie cataclysmique.

En 1054, un nouvel astre surgit dans le ciel, dans la constellation du Taureau. Si brillant que son éclat reste visible de nuit pendant vingt mois. Le prémices de l’apocalypse ? Non : le chant du cygne d’une étoile massive, une supernova. Dix siècles plus tard, les particules propulsées par la détonation flottent toujours gracieusement dans l’espace, et le mot « supernova » continue de faire rêver plus qu’aucun autre jargon scientifique…

Des rubriques rendez-vous

Ce mois-ci, l’Analyse se demande si l’écoanxiété est-elle une nouvelle maladie ; le Labyrinthe vous éclaire sur le casse-tête du loup ; Pop’science vous apprend que des poissons rouges ont conduit une voiture et que les chevaliers montaient en fait des poneys.

Une expérience vient de le prouver ; l’être humain rit dès ses premières semaines. Et ce rire jouerait, selon les psychologues, un rôle majeur dans le développement cognitif. L’humour, décidément, est une affaire sérieuse.

La triste histoire de la charcuterie… en son cœur, logent des molécules aux effets terriblement délétères. Non, tout n’est pas bon dans le cochon.

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